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musique

S.COK

Jeudi 5 juillet à 19h30
Stéphane COcHini et Nathanaël PINNA
Chansons françaises

Stéphane Cochini et Nathanaël Pinna proposent un répertoire de reprises, en français, de chanteurs ou de groupes des soixante dernières années. Tout est remodelé au goût du jour et à la sauce S.COK avec une guitare, un chant et des percussions ! Vous retrouverez des vieux de la vieille revisités (Brel, Brassens, Nougaro, Gainsbourg, Vian, Dimey), des vieux de la moins vieille réappropriés (Bashung, Noir Désir, Fersen, Louise Attaque, Souchon, Higelin) et des chanteurs d'aujourd'hui réarrangés (Zebda, Renan Luce).

Stéphane Cochini : Auteur, compositeur, interprète, guitariste, chanteur et comédien.
A participé à différents projets professionnels depuis près de 12 ans dans la musique (5Avenues, Kalis, S.COK), le théâtre (Compagnies Mascarille, L'Apicula, Cie Les Spécimens), le cinéma et la télévision (« Les Collègues », « Une femme d'honneur », « Le Tuteur »).

Nathanaël Pinna : Batteur, percussionniste et arrangeur. A suivi des études classiques au conservatoire et une formation jazz. Membre permanent du Bambou orchestra, de Maycad (pop rock) et de beaucoup d'autres projets depuis près de 10 ans.

La rencontre entre Stéphane et Nathanaël s'est faite sur le projet "La Dernière Rose", cabaret poétique, joué en Avignon au festival 2010 au théâtre le Célimène. La collaboration s'est poursuivie dans le groupe Kalis (chanson / rock) et actuellement dans S.COK.

"J'ai dans les bottes, des montagnes de questions
où subsiste encore ton écho ..."

stephanecochini@yahoo.fr / 06 03 49 19 96


Enco de Botte


Samedi 7 juillet à 19h30

Annie MALTINTI, Caroline TOLLA
Olivier MEYNARD

 

et Florence BOUÉ-CROISY

Chants polyphoniques méditerranéens 

Enco de Botte « chez Botte » est un quartier de Marseille dans lequel se trouvait une auberge, fameuse, celle de M. Botte. Des chanteurs s’y donnaient rendez-vous pour partager la musique des différents coins de l’Occitanie. Nous imaginons volontiers que cet aubergiste passionné invitait de bon cœur à sa table, entre autres, ses voisins corses.

Ce quatuor est issu des ateliers de chant de la Compagnie du Lamparo à Marseille, dirigés par Manu Théron et animés en alternance par les membres du Cor de la Plana.
Le groupe s’est constitué par affinités et désir commun de poursuivre un travail vocal, et d’explorer un répertoire populaire occitan de Provence.
Un premier répertoire est composé de chants issus du Damase Arbaud, de chants collectés par La Talvera et autres organismes et associations s’occupant de collectage en zone occitanophone (CMTRA, CMTR Limousin, AMTP Quercy, etc …), de chants de métier, de chants à danser, de chants de table ou de Noëls provençaux.
Par la suite, la rencontre avec le chant corse s’est faite au travers de stages et de concerts (A Filetta) initiés par les Voies du Chant, association consacrée à la voix, dirigée par Odile Lecour et Armando Cox à Marseille (festival « De Vives Voix »).

Annie Maltinti : 06 14 92 35 96
Olivier Meynard : 06 64 45 07 07
Caroline Tolla : 06 62 68 86 48
Florence Boué-Croisy
www.lesvoiesduchant.org
www.myspace.com/encodebotte
associationproject@yahoo.fr


TERRES DES TSIGANES

Vendredi 6 juillet à 19h30

GORAN CAUSEVIC ENSEMBLE
(France-Bosnie-Irak)

Nouveau venu dans le monde de la musique tsigane, Goran Causevic Ensemble mêle les langues russe, serbo-croate et tzigane à une musique festive alliant puissance et émotions.
Le groupe puise dans la tradition de la culture Tzigane l’énergie de ses rythmes endiablés et de ses mélodies accrocheuses. Goran porte avec générosité les chants traditionnels tziganes de l’Europe de l’Est (Balkans, Roumanie, Hongrie, Russie).
Au fil des mélodies, des regards et des sourires complices, c’est une véritable frénésie balkanique, festive, et joyeuse qui vous emportera dans un tourbillon de danse, de joie et d’euphorie.

La sensibilité et l’énergie rock des musiciens sont omniprésentes sur scène. Ce qui est surprenant dans GCE c’est cette rencontre entre les musiciens de deux mondes différents : le monde de la musique classique et le jazz. Et c’est la musique tzigane qui les a réunis. Pas besoin de parler la même langue, c’est l’émotion sauvage d’une musique instinctive qui parle pour elle.

Avec :
- Amil Causevic Guitare
- Fabien Mathieu Percussions
- Fayçal Benouniche Contrebasse
- Agnieszka Rajca Violon
- Goran CAUSEVIC Chant


www.gorancausevicensemble.com
straus.tamara@gmail.com
écouter/voir :
YOUTUBE / DAILYMOTION / MYSPACE / FACEBOOK


LE CAP

Vendredi 6 juillet à 21h45
Didier LABBÉ Quartet
JAZZ

« Découvert à la Fête de l’Huma sur la scène Jazz Hum’ Ah !, le quartet de Didier LABBÉ fit à juste titre, une forte impression et l’album correspondant au programme Le Cap, nous fait entendre un magnifique groupe entraîné par le saxophoniste qui aime à se jouer des modes et du temps, dans ce voyage en terres australes.
On est immédiatement plongé dans le bain, du Cap dans une Afrique imaginée, imaginaire, une Afrique bigarrée, festive, frémissante et inquiète, sur des rythmes chaloupés qui swinguent sans retenue. Ça chante aussi avec ce merveilleux accordéoniste Grégory Daltin (l’instrument revient en force - il faut s’en réjouir quand il est aussi bien joué - sur la scène du jazz hexagonal), entouré d’un tubiste brillant dans ses rugosités-mêmes, Laurent Guitton, que soutient et renforce un batteur des plus attentifs, Jean Denis Rivaleau.
Une rencontre fusionnelle entre ces quatre musiciens, un échange sensible et rayonnant sur scène et sur l’album. […] « Pas cap » est troublant avec la plainte vive du saxophone sur fond de tambours et  grognement du tuba, et en arrière-plan, un accordéon menaçant. Comme si chacun jouait sa peau, à moins que ce ne soit avec nos nerfs. Enfin, à la flûte et aux divers saxophones, le leader de ce groupe épatant conduit son discours explicitement, avec générosité, lyrisme, mélancolie parfois, en dépit de l’énergie déployée constamment.
L’Africanité dans tout ça ? Le disque se réclame, on l’a dit, du grand pianiste converti depuis à l’Islam et devenu Abdullah Ibrahim. Notre ancien Dollar Brand composait des mélodies chatoyantes, plus vives et épanouies bizarrement, issues du blues, des ballades du répertoire populaire, où dominait le chant profond des graves.
Si vous ne dansez pas sur l’hypnotique « Imam » où tuba et flûte s’enroulent, vous méritez de demeurer à jamais cloué sur votre siège.
« The Wedding », hymne tendre et prometteur, en miroir au premier titre, conclut le disque, exaltant le phrasé du saxophone. […] Absolument ensorcelant ! »

Sophie Chambon



Didier LABBÉ

www.didierlabbe.com